1.réécrivez le texte â la première personne du pluriel. Après la perte de mon père, je ne veux plus être du monde, et j'y renonce pour jamais. Oui, mon père, là
Français
sandragatignol
Question
1.réécrivez le texte â la première personne du pluriel.
Après la perte de mon père, je ne veux plus être du monde, et j'y renonce pour jamais. Oui, mon père, là le chagrin que je m'accuse de vous avoir donné. Souffrez, mon père, que je vous donne ici ma parole, et que je vous embrasse pour vous témoigner mon ressentiment.
2 Réécrivez le passage de cette scène en remplaçant le présent par l'imparfait
Je consacre un bel hymne à cette oisiveté.
Où mon âme en langueur est comme ensevelie.
Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, que je crois que les biens me viendront en dormant,puisque je vois déjà s'en enfler ma bedaine,et hais tant le travail, que les yeux entrouverts,une main hors des draps, cher Baudouin, à peine ai-je pu me résoudra à t'écrire ces vers.
Après la perte de mon père, je ne veux plus être du monde, et j'y renonce pour jamais. Oui, mon père, là le chagrin que je m'accuse de vous avoir donné. Souffrez, mon père, que je vous donne ici ma parole, et que je vous embrasse pour vous témoigner mon ressentiment.
2 Réécrivez le passage de cette scène en remplaçant le présent par l'imparfait
Je consacre un bel hymne à cette oisiveté.
Où mon âme en langueur est comme ensevelie.
Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, que je crois que les biens me viendront en dormant,puisque je vois déjà s'en enfler ma bedaine,et hais tant le travail, que les yeux entrouverts,une main hors des draps, cher Baudouin, à peine ai-je pu me résoudra à t'écrire ces vers.
2 Réponse
-
1. Réponse taniva
1 apres la perte de notre pere nous ne voulons plus etre du monde et nous y renoncons pour jamais. oui notre pere la le chagrin que nous nous accusons de vous avoir donnésouffrons, notre pere que je vous donne ici notre parole, et qu'on vous embrasse pour vous temoigner notre ressentiment
-
2. Réponse Lolilol78
2.
Je consacrais un bel hymne à cette oisiveté.
Oû mon âme en langueur était comme ensevelie.
Je trouvais ce plaisir si doux et si charmant, que je croyais que les biens me viendraient en dormant, puisqu je voyais déjà s'en enfler ma bedaine, et hais tant le travail, que les yeux entrouverts, une main hors des draps, cher Baudouin, à peine avais-je pu résoudrais à t'écrire ces vers.
1.
Après la perte de notre père, nous ne voulons plus être du monde, et nous y renonçons pour jamais. Oui, notre père, là le chagrin que nous nous accusons de vous avoir donné. Souffrez, notre père, que nous vous donnons ici ma parole, et que nous vous embrassons pour vous témoigner notre ressentiment.